La Cgt a pris connaissance par la presse de la relance d’une activité chocolatière sur une partie du site emblématique de la Chocolaterie de Dijon et le déploiement à terme d’une dizaine de boutiques de vente. Il s’agit là d’un pas en avant important de relance d’une activité pour laquelle la Cgt a déployé de nombreuses initiatives.

Depuis des années, la Cgt a mené tous les combats pour empêcher les restructurations. Elle a proposé des plans de relance, avancé des propositions de productions innovantes… Mais les groupes qui, successivement, ont imposé leur stratégie mortifère, ont fait sombrer la Choco, cassé les salariés, les savoir-faire, la renommée des produits.

Lors du Pse de 2018, tous les militant(e)s de la Cgt ont été licenciés. De fait, jusqu’en 2021, les repreneurs n’ont eu à faire face à aucune opposition. Ils ont eu les mains libres pour piller le site. La municipalité de Dijon, le Conseil régional et les pouvoirs publics portent une lourde responsabilité en ayant accompagné ce gâchis.

Pour la Cgt, l’histoire de la Choco et de ses salariés ne pouvait s’arrêter là. Cette fermeture ne pouvait pas être irréversible.

La Cgt a, durant la dernière période, développé des initiatives, tant à la foire gastronomique que sur le marché de Dijon, à la tour Philippe le Bon, à l’ouverture de la Cité gastronomique... Elle a interpellé et